La plupart des maisons neuves sont déjà vendues avant que la construction ne soit achevée. Et même dans certains cas, des appartements sont vendus alors qu’ils ne sont pas encore construits. Dans ce genre de situation, il s’agit d’un achat sur plan ou d’une VEFA.

La VEFA : qu’est-ce que c’est ?

La vefa ou vente en l’état futur d’achèvement est un engagement entre un acheteur et le promoteur immobilier. Le fonctionnement est assez simple. L’acheteur devient propriétaire du terrain ainsi que des constructions qui y sont réalisées le jour de la vente. Il faut savoir que ce type de transaction est encadré par la loi. Ceci afin de donner confiance à l’acheteur qui a fait son acquisition alors que la construction n’avait pas encore commencé. Cependant, il n’est pas rare de voir des cas où il y a des défauts de conformité lors de la réalisation des travaux. Il y aura donc un litige entre l’acheteur et le promoteur. Dans ce genre de situation, l’acheteur peut se sentir perdu puisqu’il a déjà payé la plupart des travaux réalisés sur le site. Cependant, vous pouvez vous faire accompagner par un avocat pour profiter de la consignation vefa qui est obligatoire dans le contrat. D’une manière générale, vous pouvez consigner le solde du prix de vente total à hauteur de cinq pour cent pour obliger le promoteur à réaliser les travaux à corriger.

La consignation en VEFA !

Ce type de consignation prend effet lorsque l’acquéreur constate l’existence de non-conformités lors de la livraison du bien. La consignation vefa n’est pas un cas isolé, l’acquéreur constate fréquemment des anomalies qui peuvent être vraiment importantes une fois le logement achevé. Dans cette situation, il est possible de prévoir le versement d’un acompte de 5% du prix du bien. Cela permet à l’acheteur de faire légalement pression sur le promoteur. Ce dernier devra remuer ciel et terre pour achever la construction selon les termes du contrat. Il faut noter que le paiement du prix de vente en plusieurs fois est également mis en place afin de s’assurer que le promoteur termine les travaux à temps et qu’il respecte les normes établies au départ. Il peut s’agir d’un véritable bras de fer entre l’acheteur et le promoteur. En tant qu’acheteur, vous vous sentirez désavantagé en cas de litige puisque vous avez déjà payé, alors que le bien que vous recevez n’est pas conforme à vos attentes. Il est donc fortement recommandé de faire appel à un avocat spécialisé dans ce domaine en cas de litige afin qu’il puisse vous accompagner tout au long des batailles qui vous opposent au promoteur. Cependant, vous pouvez également recourir à un avocat expert lors de l’achat en vefa conseil. Il pourra vous conseiller au mieux depuis la signature du contrat jusqu’à la remise des clés.

Les réserves sur le PV de livraison !

Lorsque le promoteur estime que la construction est terminée, il vous contactera pour convenir d’une date de remise des clés. Sachez que c’est au cours de la livraison elle-même que vous pouvez constater des malfaçons et des incohérences par rapport à ce qui avait été convenu au départ. Si vous êtes confronté à cette situation, il est important d’exprimer vos réserves. Pour ce faire, vous noterez dans le procès-verbal de livraison tout ce qui vous semble incompatible avec ce qui est écrit dans le contrat. La visite lors de la remise des clés est donc d’une importance capitale et vous devez porter une attention particulière à ce moment. Si vous avez fait appel à un avocat pour vous accompagner, il pourra vous parler des non-conformités de la construction. Il est indispensable que vous vous munissiez de tous les documents concernant le logement, notamment le contrat, le descriptif du logement mais aussi un papier et un stylo. Ces derniers vous permettront de noter les éventuels défauts et ce qui doit être réparé. Il peut s’agir d’une fissure, de la peinture ou du choix des matériaux utilisés par le promoteur. Dans le procès-verbal, vous devez être très précis. N’omettez aucun détail sur le défaut. Vous devez décrire sa nature, son emplacement, sa taille si nécessaire. Le plus important est d’être aussi précis que possible. Il est clair que si vous êtes vraiment un amateur en la matière, il est toujours préférable de demander l’avis d’un professionnel pour vous permettre de bénéficier pleinement de vos droits.

Envoyer un courrier recommandé en ligne est désormais possible grâce à la technologie. Il suffit de trouver une solution innovante pour envoyer des lettres recommandées en ligne. Vous n’avez pas besoin de vous déplacer pour le faire : la création d’un compte se fait depuis votre équipement connecté à internet, en quelques minutes seulement. Et le coût est réduit par rapport à l’envoi classique. Zoom sur tout ce qu’il faut savoir sur l’envoi d’une lettre recommandée électronique.

Envoi d’une lettre recommandée électronique : sans sortir de chez soi !

Envoyer un courrier recommandé en ligne reste une méthode d’envoi simple et sécurisée. En effet, il vous suffit de créer un compte sur un site internet dédié à ce type de service, de créer vos lettres et il se chargera de les poster pour vous. Il est possible de suivre tous vos envois grâce à une boîte aux lettres au sein de votre compte. N’oubliez pas non plus qu’une fois votre inscription terminée, vous devriez recevoir une notification par courriel qui valide votre inscription. L’adresse électronique que vous avez saisie est votre identifiant. Et vous devez la saisir à chaque fois que vous vous connectez à votre espace utilisateur au sein de votre opérateur d’envoi d’e-lettres. Si vous oubliez votre mot de passe, vous pouvez surmonter ce problème en le modifiant.  Pour pouvoir envoyer votre lettre recommandée électronique, vous devez prouver votre identité. Cette démarche est nécessaire auprès de l’opérateur postal numérique en charge de l’envoi de votre lettre. Ces preuves sont indispensables en cas de litige ou de contestation avec votre destinataire. Vous devez normalement les fournir sous forme d’images. Au fur et à mesure de l’avancement de votre commande, une facture sera générée automatiquement sur votre compte. Cliquez postez, un moyen simple d’envoyer votre lettre recommandée électronique.

Lettre recommandée électronique : comment ça marche ?

Après vous être inscrit sur le site, choisissez votre type de courrier. Il existe plusieurs types de lettres recommandées sur lesquelles vous pouvez choisir en ligne. En effet, il existe des lettres pour résilier un contrat d’assurance, un contrat d’électricité, d’eau ou de gaz, un abonnement à une salle de sport, un bail, etc. Par exemple, si vous souhaitez résilier votre contrat d’assurance, vous pouvez envoyer une lettre recommandée électronique à votre destinataire. Quel que soit le type d’assurance que vous avez, qu’il s’agisse d’une assurance habitation, d’une assurance matériel roulant, d’une assurance individuelle accident ou d’une assurance emprunteur, d’une mutuelle de santé et autres, vous pouvez envoyer à votre destinataire une lettre recommandée électronique pour les résilier. Lorsque votre lettre de résiliation est sélectionnée, personnalisez-la avec vos informations. Sélectionnez ensuite votre destinataire. Après votre validation, le montant du paiement vous sera demandé et tout est prêt à être envoyé. Le mode de paiement est simple et sécurisé. Il est parfois judicieux d’envoyer un contrat, une annonce légale ou un document original par courrier. Ce type de service est facultatif mais possible avec votre prestataire de services postaux.

Lettre recommandée électronique : les conditions d’envoi !

Pour être valable, le destinataire de votre lettre recommandée électronique doit être un professionnel disposant d’une adresse électronique et d’un contact téléphonique fonctionnel. Mais en tant que particulier, vous pouvez la lui envoyer. En revanche, si le destinataire est un particulier, il doit donner son accord préalable pour recevoir des lettres recommandées électroniques. Par ailleurs, il est possible d’envoyer une lettre recommandée en ligne si vous êtes à l’étranger, mais le destinataire de la lettre doit se trouver en France, dans les DOM TOM, en Andorre et à Monaco. Il faut savoir que l’envoi de vos lettres électroniques validées avant 23h30 se fait le jour même.

Le divorce marque la fin de la vie commune pour le couple marié. Il peut se présenter sous différentes formes, mais la finalité est toujours la séparation de corps des deux parties. Pour arriver à cette finalité recherchée, la demande en divorce peut émaner de l’une des parties seulement. Elle peut également être conjointement demandée par le couple dans certains cas. Le non-respect des démarches exigées par la loi peut mettre fin à une demande en divorce engagée. Ainsi, dans la majorité des cas, les personnes concernées se font assister par des avocats. Également, dans certains cas, la représentation par un avocat est obligatoire en cours de la procédure.

Zoom sur la procédure de divorce

La procédure de divorce est l’ensemble des formalités que les époux doivent accomplir pour obtenir la dissolution du mariage civil. Le divorce a comme effet la fin du contrat de mariage conclu au moment de la célébration. Il est à noter que le divorce peut se présenter sous différentes formes. Ainsi, la procédure est variable en fonction du type de divorce choisi par les époux. Dans la pratique, les époux ont le choix entre une procédure contentieuse et non contentieuse. Dans tous les cas, la procédure est assez complexe et longue. En optant pour une procédure contentieuse, le divorce prend immédiatement effet au terme de la procédure devant le juge aux affaires familiales. Cependant, les époux gardent le statut de mariés jusqu’au prononcé du divorce par le juge. Le prononcé du divorce entraine par la suite une séparation de corps et les obligations du mariage prennent également fin à partir de ce moment précis. 

Le divorce à l’amiable

Le divorce à l’amiable est également appelé divorce sans juge. Il s’agit d’une procédure assez rapide, car les époux ne sont pas obligés de se présenter devant le juge pour divorcer. Dans la pratique, cette procédure est appelée divorce par consentement. Les démarches se font généralement devant le notaire qui procède à l’enregistrement du divorce. À noter que si les époux choisissent le divorce à l’amiable, chacun d’eux doit se faire représenter par un avocat. Ces avocats signent par la suite la convention auprès du notaire. Malgré la simplicité et la rapidité apparentes de la procédure, les intéressés doivent patienter pendant un à deux mois pour la constitution des pièces et les négociations. En cas d’existence d’enfant mineur issu du couple, le passage devant le juge pour audition est obligatoire et le délai de traitement du dossier peut aller jusqu’à une année. Pour la validité de cette procédure à l’amiable, les époux doivent exprimer leurs accords express sur le sort du mariage. Un accord doit ainsi être fait sur la pension alimentaire, la garde des enfants et la répartition du patrimoine en fonction du régime matrimonial.

Le divorce conflictuel

Le divorce conflictuel se présente sous trois formes. Il peut être pour faute, pour altération du lien conjugal et par demande acceptée. Dans tous les cas, les intéressés passeront devant le juge en deux étapes. La première audience a comme issue une ordonnance de non-conciliation délivrée entre deux à cinq mois après le dépôt de la demande en divorce. Ce délai peut faire l’objet d’une révision par le juge en cas d’urgence. La deuxième audience quant à elle est prévue entre un an et six mois à trois ans après la délivrance de l’ordonnance de non-conciliation. Le délai pour le partage des biens immobiliers communs vient s’ajouter à ces délais et l’ensemble des procédures peut aller jusqu’à une dizaine d’années. Dans le cadre d’une procédure conflictuelle, le divorce prend effet après le prononcé de la décision par le juge.

Pour devenir franchiseur, vous devez disposer de toutes les qualifications nécessaires. Vous pouvez vous faire accompagner par des avocats spécialisés. Ces derniers vous aideront à bénéficier de tous les leviers liés à votre activité. Par ailleurs, considérez sa réputation, sa fiabilité et son expérience avant de prendre une décision.

Comment devenir franchiseur ?

Si vous voulez devenir franchiseur, vous devez respecter un certain formalisme et utiliser des outils de gestion adaptés. Il est aussi important d’avoir des licences et d’un bon concept. En effet, vous devez savoir que la force d’une franchise repose sur son concept. Ce dernier doit refléter l’image du créateur. De ce fait, vous devez mener une large étude de marché. Vous devez avoir une activité qui fonctionne. L’idéal est de privilégier l’intervention d’un avocat spécialisé pour vous accompagner dans toutes les démarches. Ce type de professionnel dispose de toutes les connaissances indispensables concernant le droit de la franchise. Le rôle de l’avocat est de traduire les organisations retenues par le franchiseur, organiser les flux financiers pour financer le réseau de franchise, assurer la sécurité juridique du professionnel, … En ligne, vous avez la possibilité de trouver un avocat compétent et réputé. Si vous voulez devenir franchiseur, obtenez plus d’informations sur l’intervention d’un avocat spécialisé. De toute évidence, il vaut mieux choisir un professionnel de bonne réputation pour éviter les désagréments.

Les étapes à suivre pour devenir franchiseur

Pour devenir franchiseur, vous devez suivre quelques étapes clés. A priori, vous devez tester votre savoir et l’éprouver. Il est conseillé d’analyser la rentabilité du projet, le compte d’exploitation, … Ensuite, vous devez élaborer votre business plan, manuel opératoire, contrat de franchise, DIP, … Vous devez avoir une licence de marque pour vous protéger et pour votre concept commercial. Sachez que les avocats spécialisés pourront vous accompagner pour garantir la réussite de votre projet. De cette manière, vous serez sûr de suivre des démarches spécifiques qui respectent les normes. N’oubliez pas de vous informer sur l’expérience du professionnel. Cela vous garantira son savoir-faire et son expérience. De toute évidence, sachez que le franchiseur doit être capable de transmettre ses méthodes au franchisé. Il est recommandé d’écrire des manuels pour aider votre réseau à bien démarrer. Avant la signature de contrat, vous devez avoir une vision claire de votre activité, protéger vos marques et vos méthodes par des licences et des brevets et baliser votre parcours de formation avec des processus d’apprentissage adaptés. Notez que ces préparatifs peuvent avoir des coûts importants. C’est pour cette raison qu’il faut bien se préparer avec vos conseillers et vos partenaires.

Guide pour devenir franchiseur

Vous devez noter que la franchise est un mécanisme qui nécessite de la précision. Cela s’apprend dans la durée. Vous devez bien entretenir votre réseau de franchisé après la signature des contrats de distribution. Il est important d’élaborer un fonctionnement pratique du réseau avec une description via le DIP ou Document d’Information Précontractuelle. Cela doit contenir l’historique de votre entreprise, le parcours du dirigeant, l’identité de l’entreprise, la propriété de la marque, la présentation du marché, les conditions du contrat, les conditions financières, le montant de l’investissement, … Ce document doit être accompagné par le contrat de franchise. C’est à vous de faire respecter les différents termes indiqués. L’avocat franchiseur peut vous aider dans le développement de votre activité. Il vous fera bénéficier de tous les leviers de la franchise comme le levier financier, marketing et humain. Informez-vous sur ses références avant de prendre votre décision. Sur son site internet, il est recommandé de voir les avis et les commentaires laissés par ses clients. De cette manière, vous serez sûr de son efficacité et de sa compétence.

Tous les avocats sont connus et ont leurs propres compétences. Vous avez juste besoin de connaître et de choisir le bon avocat. La franchise est une méthode de marketing qui améliore votre entreprise. En fait, ce n’est pas sans risques. Avoir un avocat professionnel à Paris est essentiel pour mieux comprendre le monde des affaires et de l’économie. Votre cas peut être correctement étudié et géré en contactant un cabinet professionnel.

Faire appel à un cabinet d’avocats spécialisé en droit de la franchise à Paris 

Recherchez sur les systèmes d’exploitation en ligne ou les annuaires Web pour trouver les services juridiques proposés par le meilleur cabinet d’avocats Paris, qui vous conviennent. À mesure que les nouvelles technologies se développent, vous pouvez rapidement trouver le cabinet d’avocat qui correspond le mieux à vos exigences et à votre budget. Il est constitué par un large réseau développant des fichiers complexes qui couvrent une variété de sujets. Cependant, votre choix dépendra de la question juridique. Il peut s’agir d’un divorce, d’un problème de droit des sociétés, de droit de la circulation ou de location commerciale. Alors, travaillez avec un cabinet d’avocats qualifié pour trouver la meilleure solution juridique à votre problème. Les compétences de ces professionnels varient en fonction de la situation et des contraintes. Trouver un cabinet avocat paris spécialisé en ligne peut vous aider à éviter les frais de déplacement. Au besoin, lancer une comparaison sur internet ou visitez le sitesimonassocies.com. Ceux-ci vous aideront à prendre une bonne décision. Un cabinet avocat peut vous conseiller sur une action en justice. Les avocats amateurs peuvent traiter une variété de conditions. D’autre part, les professionnels ont des qualifications professionnelles pour démontrer leurs compétences.

Le bon profil d’avocat à choisir

Pour trouver des avocats franchise, consultez un avocat d’un autre département ou d’une autre communauté de votre voisinage, est obligatoire. Il est préférable de faire affaire avec un cabinet avocats franchise de qualité qui fournit des services qui vous offrent une qualité et un prix abordable. Il y a plusieurs critères à considérer avant de faire appel à un avocat franchisé Paris. Vous devez d’abord considérer son domaine d’expertise. Ce critère peut influencer votre choix. Certains spécialistes sont des amateurs généralistes. Idéalement, contactez un professionnel qui est déjà habitué à gérer des situations pareilles. Vous devez également tenir compte de vos besoins. Il est également important de considérer l’emplacement géographique afin d’éviter les frais de déplacement en contactant un expert dans votre département.

Conseils pour trouver un avocat experts en conseil juridique

Les professionnels doivent avoir les connaissances dont ils ont besoin pour résoudre les problèmes. Sur des matières spécifiques telles que le droit des sociétés, le droit des brevets, le droit fiscal et le droit de l’urbanisme. Le cabinet d’avocat Paris regroupe pour ses clients plus de 20 associés dans des domaines juridiques variés, dont le droit des sociétés, le droit judiciaire et le droit public. Ainsi, des partenaires expérimentés mettent en commun leur expérience, leurs connaissances et leur savoir-faire pour maximiser l’accompagnement et apporter des solutions. Il est préférable d’analyser vos compétences dès le premier rendez-vous. Ne manquez pas l’expérience professionnelle d’un cabinet d’avocats à Paris. Cela vous donnera une idée de son fonctionnement et de sa fiabilité.  De l’assignation jusqu’ à l’exécution des décisions de justice, les avocats parisiens doivent s’assurer que toutes les procédures liées au procès ou au procès ont bien été menées. Le non-respect de ces procédures peut entraîner des objections comme des interventions forcées, concentration de moyens, nouveaux programmes, fermetures,  notamment le refus ou même le rejet des objections de certains membres du cabinet. Association dans le processus, la connectivité, les avocats suivent le processus procédural pour s’assurer que le  travail soit satisfaisant et réussi.

 La vie professionnelle peut être ponctuée de conflits, de litiges entre employé et employeur. Rupture du contrat de travail, licenciement sans cause réelle ou heures supplémentaires non payées font partie des raisons pouvant pousser le salarié à la saisine du conseil de prud’hommes. C’est cette juridiction qui est capable de mettre fin au litige.

Les démarches pour saisir les prud’hommes

La saisit du conseil de prud’hommes se fait par courrier, par le dépôt d’une requête au greffe du conseil de prud’hommes. Elle peut aussi se faire directement sur place, quand l’employé et l’employeur peuvent s’y rendre en même temps. Avant toute démarche, l’employé peut tenter d’écrire un courrier à son employeur afin de proposer un règlement du litige à l’amiable. Le conseil de prud’hommes qui s’occupe du dossier est celui qui, géographiquement, est le proche du lieu de travail de l’employé. Dans la requête déposée, il doit y figurer plusieurs éléments : les coordonnées de l’employeur et du salarié, l’exposition du litige poussant le demandeur à la saisine ainsi que les preuves qu’il souhaite utiliser, la somme attendue suite au conflit. En France, la saisine du conseil de prud’hommes est gratuite. Désormais, elle peut s’effectuer par internet, notamment sur le site www.saisirprudhommes.com, facilitant ainsi les démarches du demandeur.

Pour quels litiges ?

Le salarié peut engager une procédure dans plusieurs cas :

– Lors d’une rupture du contrat suscitant un conflit entre lui et son employeur

– En cas de licenciement abusif, sans cause réelle et sérieuse

– Pour une sanction disciplinaire

– Un salaire ou des primes non versés

– Des heures supplémentaires impayées

– Des CDD à répétition

– Discrimination

– Harcèlement moral ou sexuel

– En cas de conflits liés au temps de travail, de repos ou de congés

– Pour des conditions de sécurité ou d’hygiène

– Concernant la remise de l’attestation pôle emploi ou du certificat de travail Du côté de l’employeur, la saisit du conseil de prud’hommes se fait lorsque l’employé :

– Abandonne son poste

– Nuit à l’entreprise : vol, dégradation des lieux, mise en danger de la vie d’autrui

– N’effectue pas son préavis

– CDD rompu de manière anticipée

Procédure prud’homale

En général, la procédure engagée se déroule en 2 étapes principales. Une première séance de conciliation a lieu, puis en cas d’échec de cette dernière, l’affaire est renvoyée devant le tribunal de prud’hommes pour le jugement. Lors de la phase de conciliation, le demandeur et le défenseur se rendent au bureau de conciliation et d’orientation (BCO). Cette séance n’est pas ouverte au public. Ce rendez-vous a pour but de mettre fin au litige par une conciliation amiable. Demandeur et défenseur apportent leurs explications concernant le conflit et peuvent, s’ils le souhaitent, être assistés ou représentés. En effet, il est possible d’être accompagné d’un salarié de la même entreprise, d’un défenseur syndical, du conjoint, d’un avocat ou d’un représentant légal si le demandeur est mineur. Le BCO est composé d’un conseiller prud’homme employeur et d’un conseiller prud’homme salarié. Lorsque l’affaire est renvoyée devant le tribunal de prud’hommes, les deux parties peuvent là aussi être assistées et représentées. Chacun expose ses arguments, se défend lors des débats devant le jury qui se compose d’un conseiller salarié et d’un conseiller employeur ou de deux conseillers employeurs et de deux conseillers salariés. À la suite des débats, le jury peut rendre sa décision immédiatement en suivant la majorité absolue des voix des conseillers des prud’hommes. Il peut aussi fixer une autre date pour faire connaître l’issue du jugement. Dans le cas d’un partage de voix, l’affaire est réexaminée ultérieurement, devant un juge de Tribunal de Grande Instance.

Faire appel après le jugement

La présence d’un avocat ou d’un défenseur syndical est obligatoire lors d’une procédure d’appel. La partie faisant appel dispose d’un mois à partir de la notification du jugement. Quand il s’agit d’une ordonnance de référé, elle dispose de 15 jours. La demande d’appel doit se faire par lettre recommandée au greffe de la cour d’appel. Suite à cette déclaration, le greffe convoque les deux parties à l’audience durant laquelle les débats auront lieu devant la chambre sociale de la cour d’appel. Une procédure orale se met donc en place afin que l’appelant rappelle les faits ainsi que la raison de son appel. La partie adverse donne aussi une nouvelle fois sa version des faits afin que les magistrats puissent délibérer. Suite à cette audience, la décision est rendue dans les semaines qui suivent. Deux cas sont possibles : le jugement rendu par le conseil de prud’hommes est confirmé ou bien il est infirmé. Dans ce dernier cas, le jugement est annulé et l’appelant devra se faire rembourser en cas de sommes versées à son adversaire. Après le jugement en appel, le recours en cassation est possible, dans un délai de deux mois après la notification de la décision. Le plus souvent, ce sont les salariés qui saisissent les prud’hommes, en cas de licenciement ou pour des heures supplémentaires non payées, par exemple. D’abord, le règlement du litige peut se faire de manière assez simple, par conciliation amiable. En cas d’échec, le salarié et l’employeur s’engagent dans une procédure donnant lieu à un jugement final.


Propriété industrielle, propriété artistique ou bien encore littéraire, la propriété intellectuelle permet aux entreprises d’exploiter et de tirer de revenus d’oeuvres ou bien encore d’actifs immatériels, et ce de manière exclusive. Les sociétés ne sont cependant pas toujours informées des façons de protéger leur propriété intellectuelle, et c’est pour cela que solliciter les services d’un cabinet d’avocat peut être d’une aide précieuse.

 

Qu’est-ce que la propriété intellectuelle ?

La propriété intellectuelle se compose de la propriété industrielle et de la propriété littéraire et artistique. Dans le cadre de la propriété industrielle, la démarche consiste à protéger des créations, des inventions et des innovations. Il faut pour cela recourir à un dépôt de marque, de modèle ou de brevet.

La propriété littéraire et artistique elle, est le processus qui consiste à protéger des créations artistiques, audiovisuelles ou bien encore des oeuvres littéraires et musicales. On parle alors de droits d’auteur, qui confère à l’auteur des droits exclusifs d’exploitation, mais aussi de reproduction.

 

Protéger sa propriété intellectuelle : comment s’y prendre ?

Il existe deux façons de protéger la propriété intellectuelle. Dans tous les cas, recourir à un cabinet d’avocat est la meilleure manière d’être conseillé pour la mise en place des démarches (en savoir plus). En ce qui concerne la propriété industrielle, il convient de distinguer différents dépôts :

 

•  le dépôt d’un brevet pour la protection d’une invention technique. Il peut s’agir d’un procédé comme d’un produit. La monopole d’exploitation dure alors vingt ans

•  le dépôt d’une marque qui offre un monopole d’exploitation sur la marque sur une période de 10 ans renouvelables

•  le dépôt d’un dessin ou modèle qui offre lui un monopole d’exploitation pendant cinq ans, également renouvelables

L’autre façon de protéger la propriété intellectuelle est de faire respecter les droits d’auteur. Il n’existe pas de formalités spécifiques pour protéger ces droits, et le fait de créer une oeuvre artistique ou littéraire confère immédiatement une protection à l’auteur. En cas de litige, c’est alors à l’auteur d’être en mesure de prouver qu’il est bien à l’origine de l’oeuvre concernée.

 

Qui solliciter pour être accompagné ou être défendu en cas de problème ?

Les sociétés qui créent un produit, une marque, qui innovent, ou bien encore qui souhaitent faire respecter leurs droits d’auteur, ne bénéficient pas toujours en interne des compétences requises à la bonne application des principes de la propriété intellectuelle. Et ce peu importe le domaine de l’entreprise.

Pour être accompagné sur les démarches relatives au dépôt de brevet, au dépôt de marque, au dépôt de dessin ou de modèle, elles peuvent contacter un cabinet d’avocat, qui dispose lui des compétences juridiques nécessaires pour procéder à l’acquisition des droits.

D’autre part, lorsque la propriété intellectuelle fait l’objet d’un contentieux, et ce qu’il s’agisse de la propriété industrielle comme les droits d’auteur, le cabinet d’avocat développe des stratégies et intervient devant les juridictions françaises et européennes pour le respect de la réglementation en vigueur. 

La propriété intellectuelle est un enjeu capital contribuant au développement de l’activité d’une entreprise et des créateurs divers. Elle regroupe la propriété industrielle, la propriété artistique, littéraire et le droit des nouvelles technologies. Le droit de la propriété intellectuelle protège les œuvres de l’esprit. En effet, la création intellectuelle et l’innovation sont les clés de la réussite des entreprises. Ainsi, afin de mieux protéger ses œuvres, ses inventions ainsi que ses créations, il s’avère utile de trouver un avocat spécialisé et qualifié.

Comprendre la propriété intellectuelle

La propriété intellectuelle rassemble un panel de droits qui ont des natures variables. La propriété signifie qu’il y a quelque chose qui appartient à une entité ou bien à un créateur indépendant. Une propriété peut être protégée des appropriations par des tiers grâce à un droit spécifique. D’ailleurs, elle regroupe la propriété artistique, littéraire et industrielle. Il s’agit principalement d’un droit portant sur les choses incorporelles. Cela peut être un modèle ou une marque de produit voire un procédé technique. Concernant la propriété industrielle, on parle notamment de droits de marques, de brevets et de modèles. Quel que soit le domaine dans lequel l’entreprise œuvre, elle défend une richesse immatérielle. En effet, l’enjeu de la propriété intellectuelle est large pour toutes les entreprises. Et au sens large, elle concerne également les droits d’auteurs et les droits voisins. Pour une recherche de protection fiable de ses œuvres, les entreprises peuvent recourir au service d’un cabinet propriété intellectuelle Paris. Faites confiance à un expert dans le domaine.

Connaître les différents droits de propriété intellectuelle

Afin d’être mieux informé, il est nécessaire de faire une mise au point sur les différents droits de propriété intellectuelle. En premier lieu, le droit des marques est un droit de propriété délivré par l’INPI. Il a pour but de se distinguer des concurrents aux yeux de consommateurs. Ce type de droit protège un signe particulier d’une entreprise. Cette protection s’étend sur une durée de 10 ans renouvelables. Le droit concerne la marque ou le signe verbal, visuel ou sonore. En effet, des conditions s’imposent pour que le signe soit validé. Ainsi, ce dernier doit être distinct d’une entreprise à une autre, autorisée et disponible. Après le droit des marques se trouve le droit des brevets d’invention. Ce second type de droit de propriété intellectuelle protège les inventions techniques pour une application industrielle. L’invention n’est pas forcément une chose nouvelle. Il peut s’agir aussi d’une chose existante à laquelle on a apporté une finalité technique récente. Ensuite, on note le droit d’auteur qui est le plus connu de tous. Il se démarque par les prérogatives qu’il offre à son titulaire. En outre, ce type de droit se porte sur une toile, un roman, un film, un spectacle, etc. Par contre, afin de jouir de la protection de l’auteur, il faut que l’œuvre présente un caractère original. Enfin, le droit des modèles et des dessins qui protège l’aspect octroyé à un produit. Pour ce cas, le dessin doit avoir un caractère propre et nouveau.

Ce que fait un avocat en droit de propriété intellectuelle

En général, vous pouvez défendre vos œuvres en consultant un avocat propriété intellectuelle paris. Sachez aussi qu’un avocat est le professionnel capable d’empêcher un ou plusieurs tiers de s’approprier d’un droit de propriété intellectuelle. Pour cela, l’avocat suit une procédure nommée procédure d’opposition. Son intervention prend place dans le cas où un tiers demanderait l’enregistrement d’un objet de la propriété industrielle. Une action de contrefaçon relève des droits de la propriété intellectuelle si aucune action n’est possible au moment de l’enregistrement. Ensuite, un avocat spécialisé est le meilleur allié dans ce domaine Plus précisément, ce professionnel du droit fournit des conseils et propose un accompagnement inédit lors des démarches contentieuses ou non. Grâce à son expertise, un tel avocat peut vous assister durant la rédaction d’un contrat formalisant une clause de propriété intellectuelle. En un mot, l’avocat épaule ses clients en droit de propriété littéraire, artistique et industrielle.

Les attributions d’un cabinet d’avocats spécialisé en droit de propriété intellectuelle

Certes, la propriété intellectuelle est un enjeu stratégique. Il s’agit d’un droit immatériel avec des particularités qui demandent l’intervention d’un cabinet d’avocats propriété intellectuelle paris. Pour garantir l’évolution d’une entreprise, la prise en compte des droits de propriété intellectuelle demeure importante. Ainsi, pour protéger ses droits, le cabinet accompagne ses clients dans l’élaboration des stratégies de dépôts de marques, de modèles ou de dessins. Pour la question de sécurité de vos projets de dépôts, le cabinet recherche des antériorités afin de définir l’occasion d’un dépôt. Cela est essentiel pour connaître les éventuels droits antérieurs qu’un tiers détient. En plus, le cabinet évalue la validité de la marque. Les avocats issus d’un cabinet professionnel interviennent dans la valorisation de votre patrimoine intellectuel. Plus précisément, ils proposent leur appui lors des audits et des évaluations des actifs. Au sein d’une entreprise, la formation d’une équipe concernant la protection des propriétés intellectuelles est assurée par ce même cabinet. Les avocats spécialisés dans ce domaine sont les meilleurs alliés pour une bonne rédaction de vos contrats. On distingue les contrats de licences de marques et les différents types de cessions de droits. Il en est de même pour la rédaction des chartes du respect de la propriété intellectuelle par des franchises. Enfin, un cabinet de renom dans le domaine surveille vos droits tout en protégeant votre réputation sur le web. Puis, il défend vos droits devant les tribunaux en matière de marques, de modèles, de dessins et de droits d’auteur.

Trouver un cabinet d’avocats spécialisé à Paris à travers un annuaire

Contacter un cabinet propriété intellectuelle paris est nécessaire pour protéger vos droits. Faire confiance à ce professionnel des droits pour les affaires de propriétés intellectuelles est avantageux. En outre, vous serez bien accompagné en sollicitant leur intervention. Cela concerne la gestion de contentieux, la prévention des risques, la définition des stratégies de défense ainsi que les modalités d’exploitation. Ces avocats vous assistent aussi dans le développement de vos projets tout en vous donnant des conseils précieux. Ils vous servent pour une action ou une défense en futilité d’un droit de propriété intellectuelle. Pour trouver rapidement et facilement un cabinet d’avocats spécialisé en droit à Paris, consultez un annuaire spécialisé. Il s’agit d’un site en ligne regroupant les meilleurs avocats et les cabinets en droit de propriété intellectuelle à Paris. Accessible à tous, un annuaire présente les coordonnées des cabinets à privilégier à paris pour défendre vos droits. Un annuaire propose des solutions innovantes de gestion de contact des avocats. Il vous permet de dénicher un avocat en moins d’une minute et d’entrer en contact avec ce dernier.

Un avocat est avant tout généraliste. Il peut donc officier dans tous les domaines. Cependant, la plupart choisissent de se spécialiser. Depuis 2012, une réforme des mentions de spécialisations facilite désormais l’accession aux différents domaines en simplifiant l’accès au certificat de spécialisation. Par ailleurs, une nouvelle liste distinguant vingt-six mentions a été établie.

Être reconnu expert dans tel ou tel domaine apporte indéniablement un plus aux yeux de la clientèle. D’autre part, le professionnel peut s’en servir pour justifier ses honoraires, libres dans ces professions.

Le certificat de spécialisation

Son obtention répond à certaines conditions. L’avocat qui souhaite se spécialiser doit, tout d’abord, avoir une pratique professionnelle égale ou supérieure à quatre ans. Un dossier est alors constitué et envoyé au Conseil national des barreaux qui désigne un centre régional de formation professionnel. A charge pour lui d’organiser l’entretien de validation des compétences qui sanctionnera l’audition publique du candidat. Les questions reposent sur les spécificités du domaine choisi, une mise en situation professionnelle et des questions déontologiques.

Après l’obtention de la mention, l’avocat est dans l’obligation de consacrer une partie de son temps de formation continue à cette ou à ces spécialisations. Le non-respect de cette clause entraînerait immédiatement une interdiction d’usage desdites mentions.

Certains professionnels demandent à bénéficier d’une qualification spécifique à un domaine particulier à l’intérieur même d’une mention de spécialisation. Cette spécificité doit cependant être en lien étroit avec le domaine juridique choisi, présenter un caractère juridique dans son contenu et sa formulation et ne pas être redondant avec la mention de spécialisation.

Le choix d’un avocat

Il est bien sûr préférable pour le client, d’opter pour un avocat spécialisé dans le domaine qui traite directement du dossier. L’obtention du certificat et la formation continue sont le gage d’un professionnel engagé et au courant des derniers éventuels changements, les différents domaines étant en perpétuelle évolution.

A Lyon, Maître Emilie Bertholet a ainsi choisi trois domaines de prédilection : le droit pénal, le droit du travail et le droit de la famille et des personnes. Riche d’une expérience acquise dans plusieurs cabinets d’avocat, cette jeune professionnelle dispense aussi des enseignements en droit pénal auprès de l’Université Moulin Lyon III.

Ces trois vastes domaines répondent chacun à des demandes bien particulières. Ainsi, les compétences en droit du travail de Maître Bertholet sont sollicitées par les salariés mais aussi par les employeurs. Les dossiers de licenciements, les ruptures de contrat de travail, les contentieux et la procédure prud’hommale sont le quotidien d’un avocat spécialisé en droit du travail. Mais, il officie aussi auprès des employeurs en tant que conseiller pour répondre à toutes les problématiques juridiques et aux contentieux.

De même en droit de la famille et des personnes, l’avocat peut endosser plusieurs casquettes. Celle de conseiller avant une union, une adoption par exemple, ou celle de défenseur lors d’un divorce ou d’une rupture de PACS. Il interviendra aussi au sujet des violences conjugales, des successions, des droits des grands-parents, mais également en cas de demande de protection d’un majeur vulnérable.

Quant au droit pénal, il traite de tous les manquements aux lois qui régissent les rapports entre les individus et la société. Les connaissances de l’avocat peuvent être ainsi nécessaires lors d’un dossier de contravention controversé, d’un délit ou d’un crime. Dans ces deux cas spécifiquement, sa présence devient alors indispensable à chaque étape de la procédure pénale. Lors de la garde à vue, l’accompagnement auprès de son client mettra un frein aux éventuels non-respects de la procédure. De même, le soutien psychologique apporté sera indéniable. Si un dossier d’instruction est ouvert, Maître Bertholet sera présente lors des interrogatoires, des confrontations et des reconstitutions quelle que soit la juridiction pénale. Par ailleurs, elle prendra en charge les dossiers de demandes de remise en liberté et d’éventuels aménagements des peines prononcées devant le juge d’application des peines.

Le choix d’un avocat est ainsi souvent lié à ses domaines de compétences dans un premier temps. Mais interviennent aussi les qualités humaines, son écoute ainsi que sa réputation de rigueur dans le traitement des dossiers et de combativité dans la défense des intérêts du client. Nul doute que Maître Bertholet, qui intervient dans toutes les juridictions de la région Rhône-Alpes, répond à tous ces critères et saura accompagner avec force et compréhension des dossiers qui demandent un accompagnement spécifique. 

       

L’avocat en droit social est un auxiliaire de justice conçu pour défendre vos droits et obligations dans le milieu de travail. En effet, le droit social, objet de spécialisation d’un avocat, regroupe différentes règles encadrant les relations individuelles et collectivités du travail. En France, ledit avocat peut être en butte à des contentieux (individuels ou collectifs) sociaux d’ordre privé ou public. Mais, de quelle fonction s’agit-il pratiquement?

Profil d’un bon avocat en droit social

Pour devenir ainsi, il doit faire preuve de meilleurs parcours académiques et professionnels suivant les termes de référence requis, avoir passé les examens de concours dans l’ordre des avocats et les stages nécessaires s’y rapportant.

En premier lieu, il doit disposer d’un diplôme de master en droit, de spécialisation en droit du travail et sécurité sociale ou du moins du droit privé en général. En second lieu, le candidat doit présenter certaines qualités ou certaines aptitudes à mieux communiquer tant en écrit qu’a l’oral lors des plaidoiries. Il doit avoir été formé dans des institutions d’études judiciaires, être discret, dynamique, organisé, réactif, avoir le bon sens d’analyse et de synthèse, l’art de convaincre et bien comprendre les besoins ou attentes de son client… En troisième lieu, le candidat doit avoir obtenu le certificat d’aptitude à la profession d’avocat, qui se prépare généralement pendant 18 mois dans des CRFPA, lorsqu’il a réussi le concours d’entrée. En dernier lieu, il doit présenter de fortes compétences et connaissances du domaine juridique et du milieu judiciaire… Pour en savoir davantage, veuillez suivre ce lien professionnel www.avocatsdroit.com.

Avantages de faire appel à un meilleur avocat en droit social

Il peut travailler de manière indépendante ou dans le cadre d’un cabinet d’avocat regroupant différents avocats spécialisés dans différentes disciplines juridiques. Ensuite, suivant les règles déontologiques, il travaille de manière autonome, courtoise, discrète, humaine, loyale, organisée, prudente et avec un sens du fair-play. Aussi, il peut à la fois intervenir pour gérer les conflits, en matière du travail et sécurité sociale, à l’amiable ou de nature contentieuse.

Cadre général d’étude en droit social

Généralement, le droit social comporte 2 principales branches : le droit du travail et celui de la sécurité sociale.

Techniquement, le juriste ou avocat spécialisé en droit social doit avoir parcouru 2 ans de formation (initiale ou par alternance ou en continu) par la validation des acquis de l’expérience, après sa licence, et maîtriser les matières suivantes : le droit de l’emploi, le droit pénal du travail, le droit social européen, le droit social français, le droit du travail et les nouvelles technologies, le droit pénal et les secteurs publics, la gestion des ressources humaines, un projet tutoré y afférents, les relations collectives, les relations du travail et les entreprises en difficulté, la restructuration entrepreneuriale, la sécurité sociale, les techniques de redistribution, les théories et pratiques des relations du travail et un projet de mémoire en la matière. 

Et pratiquement, l’avocat en droit social traite donc la lutte contre l’exclusion sociale, la lutte contre la pauvreté, la lutte contre la protection des mineurs, le minimum de vieillesse, la dépendance des APA. Il traite également différentes affaires ou questions, voire des différends relatifs au droit du travail (accident de covoiturage et du trajet, bulletin de salaire, congés sans solde, contrat du travail, demande de retraite retardée ou non versée, dénonciation d’une convention collective, discrimination en matière du travail, droit de la grève, licenciement abusif ou déguisé, plan de sauvegarde de l’emploi, rétrogradation unilatérale en l’absence de notification, rupture abusive du contrat de travail, temps de travail, etc.) et du droit de la sécurité sociale (assurance sociale, allocation familiale, maladie professionnelle, préjudice corporel pour suite à un non respect des normes SSI, etc.).

Quelle est la fonction principale d’un avocat en droit social ?

L’avocat en droit social, par rapport à ses homologues spécialisés dans différentes disciplines de droit, intervient en matière des affaires relatives au droit du travail et des sécurités sociales.

Ensuite, et généralement, il a pour fonction classique d’assister, de conseiller, de défendre, voire de représenter son client auprès des institutions judiciaires, et ce, en plaidant en faveur en sa faveur pour faire valoir ses droits sociaux. De plus, il peut également s’apprêter à conseiller et rédiger des actes conformément aux lois en vigueur.

Ainsi, il peut assister son client-salarié victime de rupture abusive du contrat de travail, de licenciement ou de modification du contrat de travail. Il peut le conseiller sur ses conditions d’embauche, faire valoir ses droits de congés ou ses droits de formation ou la régularisation des temps de travail, défendre le droit des salariés victimes de dommage corporel ou de maladie professionnelle. Il aide également les établissements pour toutes les questions sociales, défendre les intérêts relatifs aux acquisitions-cessions-transmissions d’entreprise ainsi que d’accompagner les représentants syndicaux dans les procédures de négociation collective ou dans l’application du PSE ou pour des questions relatives à l’hygiène et à la sécurité en entreprise…

 

 

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